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Bintou et l'étrange infirmière

Bintou et l'étrange infirmière
  • Bienvenue sur le blog de Bintou ! La classe de 3ème prépa pro du Lycée Anatole France va vous raconter l’histoire de Bintou, jeune fille hospitalisée qui va enquêter sur une drôle d’infirmière. Notre objectif, vous rendre accros, vous faire rire et rêver
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31 mai 2016

Après avoir pris des forces

Après avoir pris des forces, il est l’heure pour moi de préparer mon sac, pour retourner à la chasse aux indices dans cette étrange usine.

Il est 23h, c’est l’heure pour moi de partir je suis sûre que  ce que je vais découvrir mais va beaucoup me surprendre.

 

USINE SOMBRE 

 

 

J'ai poussé ce gros portail rempli de ronces, j'ai pénétré dans l’usine et commençé à chercher la pièce ou étaient ces fameux Tags étranges.

Tout au bout du couloir, je voyais une pièce encore inconnue…

J’y ai pénétré… ‘’Wow !!! C’est quoi ces tags ?’’ J'étais sous le choc.

Sur les murs des prénoms, mais de qui s'agit il…         

graff remigraff hugo

 

 

 

 

 

J'ai sortis mon téléphone et pris en photo ces tags. 

Ensuite je suis rentrée à l'hopital pour rejoindre ma chambre. Je me suis endormis en imaginant 1000 hypothèses...

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31 mai 2016

Maxime sait...

 

 

Ce matin, je suis allée sur le stade de foot, sur le toit de l'hôpital, il n'y avait personne, je me suis assise sur le bord pour regarder la vue qui est magnifique.

 IMG_4890

J'ai repensé à l'usine et ai pris mon téléphone pour regarder les photos que j'avais prises quand j'ai senti quelqu'un me toucher l'épaule.. j'ai sursauté, me suis retournée vivement et j'ai vu Maxime... Il s'est assi à coté de moi.

«T'aime les tags ?» m'a dit Maxime en me regardant. Je lui ai demandé s'il comprenait le message de ces tags, il m'a alors pris mon téléphone et observa les tags.

J'ai vu alors dans son regard une onde de tristesse, une larme s 'est écoulée sur sa joue... je lui ai demandé pourquoi il pleurait, il m'a répondu quelques minutes après, pour me dire que tous les prénoms qui avait été tagués était ceux de ses meilleures amis dans l'hôpital et qu'ils sont tous mort maintenant. 

 

Il ma ensuite posé la question suivante «Où as tu trouvé ces tags ?»...

Je lui ai donc raconté toute l'histoire et nous avons alors décidons de poursuive l'enquete ensemble et de rechercher Camille.

 

 

17 mai 2016

Détective Privé

 

Sans attendre j'ai pris mon courage à deux mains et suis sortie de mon lit pour essayer de comprendre, pourquoi l’usine était reliée à Camille ? Pourquoi Camille était dans cette usine ?

À peine passée la porte, je la voyais à l’autre bout du couloir… Elle semblait stressée, angoissée, elle tournait en rond comme si elle avait fait quelque chose de mal. N’est-ce pas trop tôt pour aller lui parler de ce qui c’était passée hier dans l’usine ? Pas le temps ! J'ai décidé de suivre ma mystérieuse infirmière.

Chaque fait et geste que Camille faisait, je l'ai observé, je l'ai écouté... c’est comme si j’étais une détective privé. Après avoir suivie Camille pendant 5h, je ne rien trouvais d’anormal quand tout a qu'ou je vois une trace de peinture sur son cou.

peinture

 

 

Il était 12h00 c’était l’heure pour moi d’arrêter car c’était l’heure de manger puis de poursuivre mes soins.

A tout à l'heure...

17 mai 2016

Un réveil difficile

 

7h 30, je me réveille en sursaut, une infirmière entre avec mon petit-déjeuner…Ouf, ce n’est pas Camille.

Pas moyen de manger mon petit-déjeuner...

je me pose tout un tas de questions, je me demande pourquoi et comment Camille était dans cette usine.

 

N’est-ce pas un rêve tout cela ? N’est-je pas trop regardé la télé ?

12 mai 2016

Incroyable !!!

 

Alors, ni une ni deux, je suis sortie par la fenêtre et j'ai pris l’échelle de secours car si j’étais sortie par les couloirs, l’alarme se serait déclenchée.

20160412_095302[1]

J'ai traversé le parking, et je me suis posée à côté de l’entrée des camions de pompier… le portail s’etait ouvert enfin et j'ai couru de toutes mes forces jusqu’à cette usine !

 

Devant l’usine, j'ai soupiré un grand coup et j'ai réalisé que je l’avais fait, que j'étais libre ! J'étais face à un bâtiment immense et tout en briques, le portail était énorme et sinistre, recouvert de toiles d’araignées. Derrière le portail, il y avait un grand jardin, avec des toboggans effondrés et des balançoires rouillées. Je me suis avancé vers la porte et BAAM ! Je suis tombée : mon pied s’était emmêlé dans de vielles ronces piquantes. J'ai levé la tête et j'ai distingué, à travers des longues racines qui grimpent jusqu’en haut de la porte : « Jouet Land ».

Jje suis rentrée dans l’usine avec la boule au ventre. Il faisait tout sombre, on pouvait entendre le vent siffler… il y avait de grosses machines avec des tapis roulants sur lesquels trainait encore des jouets pas terminés.Cette salle était gigantesque ! Il devait y avoir une quinzaine de  machines ! Des sculptures de sirènes sortait des murs. L’odeur était affreuse,ça sentait l’urine et des tas d’ordures était jetés dans un coin. Il y avait des jouets un peu partout, des clowns boiteux, des têtes de barbies blondes trainait sur le sol jonché de bris de verre et j'ai marché sur une poupée qui s'est mise à réclamer sa maman !

 

poupéé

En gros, c’était un vrai film d’horreur et j'ai commencé à regretter l’hôpital car au moins l’hôpital est propre et ses toboggans ne sont pas effondrés : revenons à l’hôpital, je me suis dis !

Mais j'ai continué mon exploration : au fond, un couloir avec trois portes, une seule d’entre elles était ouverte… j’y ai pénètré et pris mon portable pour faire de la lumière : j'ai découvert une pièce qui ressemblait à celles dans les vieux film. C’était sans doute le bureau du patron : il y avait une montagne de dossiers, un gros ordinateur avec un écran minuscule, une photo de famille qui était posée sur le bureau, et un calendrier de 1991!

bureau

 

Je suis sortie de cette pièce par un escalier en métal. A l’étage, des pièces : la première était vide, dans la deuxième il y avait un matelas, un petit butagaz, des boites de conserve vides, des pleines... Ce qui était bizarre, c’est que les draps et le matelas étaient propres : est-ce que quelqu'un habite là ? Sur ce matelas, il y avait des vêtements roses, comme ceux des infirmières ! J'ai regardé de plus près : le nom Camille était inscrit sur la blouse - il s’agissait d’une infirmière qui s’occupais de moi ! Mais pourquoi ses vêtements étaient-ils là ? Que lui était- il arrivé ? J’ai eu tellement peur, l’angoisse  avait monté ! Et si elle était morte ?

J'ai décidé de rester calme et de faire le moins de bruit possible, j'ai pénètré dans une autre pièce. Dans celle-ci se consume une bougie : qui l’avait allumé ? Des bombes de peinture vides était étalées par terre. Au fond, un dessin sur un mur effondré, plus je me suis approchée et mieux j'ai vus ce graff incroyablement bien dessiné, représentant un lion au premier plan et une savane au second plan… Il y avait un autre tag tellement impressionnant mais aussi très morbide. J’adore les tags mais celui la m'a choqué : on y voyait une femme, tuer avec une hache un petit garçon dans un hôpital. Quelle horreur !

Mais bon… les artistes ont toujours une grande imagination,et leurs tags sont des arts fabuleux, ils sont magnifiques.

DSC_5933

Je suis réstée devant pendant de longues minutes et je me suis approché pour les toucher et un des tags n’était toujours pas sec : il n’était donc pas là depuis longtemps ! J'ai fais le tour du hangar pour essayer de comprendre ces tags et alors que j'ai contemplé un graphe, un bruit de crépitement me virent à l’oreille ! Sur l’instant j'ai crus  que c’était un animal, peut-être un chat ou une souris, mais non, j'ai entendus un bruit de chaussures à talons, du style talons hauts? et j'ai discerné une voix chantonnant une mélodie… alors je me suis cachée.

DSC_5894

Il y avait un long «Pchiiiiit » dans la pièce à coté. Doucement j'ai marché pas à pas pour aller voir au bout du couloir : c’était de là que venaient les bruits… la porte s'est entrouverte, ça sentait une odeur chimique à plein nez. J'ai glissé ma tête et ce que j'ai vus , m'a anéantie :

il y avait une femme, elle était habillée tout en rose, c’était une infirmière de mon hôpital ! Elle était grande et maigre, c’était Camille ! Elle a allumé un poste de radio et elle a cherché de la musique. Elle s'est changée en grapheur : vêtue d’une salopette en jean bleu tachée de toutes les couleurs,elle a pris une bombe dans chaque main et tagua un mur : peu à peu y apparaissent des enfants… mais soudain, son biper sonna et elle partis en courant. J'était sous le choc. J'ai  l’heure : quatre heures du matin. J'ai décidé de rentrer dans ma chambre pour me coucher. Et me voilà de retour avec un tas de question en tête : est-ce que c’était vraiment mon infirmière ? Est-ce qu’elle vit là ? Que voulaient dire ses tags ? Bonne nuit...

 

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12 mai 2016

... Et si j'y allais

20160412_094155

Il est 6h46 … Je ne sais pas si je suis dans la réalité ou dans une autre vie !

 

 

 

 

 

Tout a commencé quand Maxime m’a parlé de « l’autre côté ». Il m’a dit que Mehdi y avait été transporté. D’après lui on n’en revient pas ! J’ai eu peur ! Moi, Bintou, j’ai eu vraiment peur ! Je n’arrivais plus à dormir, ma tête était envahie de questions… Qu’est-ce qu’il y a de l’autre coté ? Est-ce que les enfants y meurent ? Est-ce que les microbes te mangent ?

Tout à coup, par la fenêtre, dans l’usine abandonnée, j’ai distingué la lumière d’une lampe torche !

Chambre et usine abandonnée 2 nuit

 

 

 

 

 

 

 

 

Y aurait il quelqu’un qui pourrait m’aider à partir d’ici ? je préfèrerais me cacher dans l’usine, plutôt que de rester enfermée comme un animal de zoo.

Et si j'y allais?

11 mai 2016

L'usine bizarre...

Chambre et usine abandonnée 1

C’est le milieu de la nuit, je n’arrive pas à dormir. Mon poisson rouge me manque, et ma maman aussi. J’ai un petit peu peur mais je ne sais pas pourquoi. J’ai essayé de lire mais je n’y arrive pas. J’ai mis les écouteurs, mais la musique m’a fait mal à la tête. L’hôpital est très silencieux. Sur ma table de nuit, il y a une berceuse, je l’ai mise en marche. Ma chambre est tellement vide. Depuis tout à l’heure, je regarde les murs. Ils sont tout blancs et il y a une dizaine de dessins accrochés. Sans doute ceux des enfants qui étaient dans cette chambre avant moi. Où sont-ils maintenant ?

Par la fenêtre, derrière les rideaux, je vois une usine bizarre. En face, cet énorme bâtiment avec des façades noires et des vitres cassées. Tout autour, il y a une épaisse couche de feuillage. En regardant bien, j’ai vu qu’il y avait des jouets dans les herbes, et des tags représentant toujours des enfants. Maxime m’a dit que c’était une ancienne usine de jouets. 

Maxime, c’est un garçon que j’ai rencontré aujourd’hui. Il était tout seul, assis contre le mur devant une chambre vide. Un clown lui parlait mais Maxime, lui, ce qu’il voulait, c’était finir sa partie d’échecs avec Mehdi. Sauf que Mehdi est parti de l’autre côté, m’a dit Maxime :

« Y’a quoi là-bas, de l’autre côté ? J’ai demandé.

-         Personne sait, vu qu’on n’a pas le droit d’y aller, m’a répondu Maxime, c’est là où on a mis Mehdi parce qu'il n'a plus de défenses.

-         Comment ça il n'a plus de défenses ?

-         Quand t’as plus de défenses, les microbes peuvent trop t’attaquer. L’autre côté c’est là où on te met quand t’es trop cassé… »

 

Du coup, quand une infirmière est venue me chercher, j’ai cru qu’elle m’y emmenait, de l’autre côté. Mais elle a dit : « Viens Bintou, le docteur Hervé va te faire des analyses, tu vas voir il est très sympa ». 

 

Le docteur Hervé a une barbe blanche et un laboratoire grand comme un terrain de foot. Il m’a accompagné jusqu’à une machine lumineuse, il m’a mis une blouse et m’a dit de rentrer dedans, et que je n’aurai pas mal. C’est vrai, j’ai pas eu mal mais même les yeux fermés ça m’éblouissait trop. Je n’ai pas bougé, je suis restée calme et le docteur Hervé m’a félicité. C’est une autre infirmière qui m’a raccompagnée. Elle aussi m’a félicitée pour mon courage dans la machine.  Qu’est-ce qu’elle en sait, je me suis dit : elle n’était même pas là.

Le truc bizarre, avec les infirmières, c’est qu’elles sont toutes pareilles. Elles ont toutes le même uniforme rose bonbon, le même truc sur la bouche pour ne pas nous donner de microbes. Elles répètent toutes les mêmes paroles : « As-tu besoin de quelque chose ? Ça va mieux ? Calme-toi ! Je te félicite tu as été très courageuse… » On dirait des doubles, des clones, voire des robots. Il n’y en a qu’une qui a l’air différente. Plus réelle, plus vraie. Elle m’intrigue…

 Bon, je vais essayer de dormir…

 

11 mai 2016

Le joueur de foot !

Matuidi_charo

  Ce  soir on a mangé des hamburgers avec des frites et du coca à volonté ! A la fin du dîner des clowns nous ont appelés : surprise dans la salle de spectacle ! Vous ne me croirez pas… MATUIDI ETAIT LA!! Il nous a offert à chacun un maillot du PSG dédicacé ! Après tout ça, je suis repartie dans ma chambre car je sentais mes jambes tomber et trembler de fatigue… et je me suis endormie dans mon grand lit tout moelleux en me disant que cette journée est passée tellement vite que j’avais oublié que mes parents étaient partis !

 

 

            Au-revoir tout le monde !

 

 

11 mai 2016

On ne s’ennuie pas ici !

 

IMG_4887

Pour descendre d’un étage à l’autre, on prend des toboggans. C’est trop marrant. C’est comme ça que j’ai atterri dans la salle de jeu ! Les murs sont jaune fluo côté garçons et rose fluo côté filles ! Je suis tombée folle amoureuse de cet endroit : voitures, mini parc, vélos, trottinettes, ordinateurs, jeux de société, tablettes, trampolines et goûters à volonté ! Mais ce que j’ai découvert de plus beau, c’est une salle d’art : une salle remplie de tableaux, de dessins et de peintures sur les murs… Il y a aussi des sculptures de sirènes, plein de sirènes… et des centaines de ballons au plafond ! Et puis je me suis inscrite à la chorale ! Et devinez ce qu’il y a sur le toit : un terrain de foot ! J’ai fait une balle au prisonnier avec les enfants qui jouaient déjà, mais pas longtemps car il m’est arrivé un truc bizarre : j’avais l’impression que la balle me regardait…

10 mai 2016

Découverte de l'hôpital

Bonjour !

 

Il y a quelques jours, mes parents m’attendaient dans le salon. Ils avaient leur tête de tristesse habituelle, mais en pire. Ils m’ont annoncé que j’allais partir à l’hôpital. Après ça, moi, Bintou, je n’ai plus dormi, plus mangé, et mes parents, je les calculais plus. Je leur en voulais trop. Dans la voiture, j’avoue, j’ai pleuré comme jamais.

 

Mais ce que j’ai découvert en arrivant… c’est un palais brillant comme un diamant ! Impressionnant ! Ici c’est chic, ça brille, c’est confortable : on dirait un hôtel quatre étoiles ! Je suis émerveillée. Ce matin, à peine réveillée, on me servait un petit déjeuner royal : Nutella, pain frais, chocolat chaud, jus d’orange pressé ! Après je me suis levée pour explorer les lieux…

 

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C’est immense ! Et tellement lumineux, étincelant comme la neige. Le soleil éclaire toutes les pièces et les grands couloirs. Il y a une odeur particulière, qui est loin d’être désagréable, une odeur fraîche. Je m’attendais à quelque chose… comment dire ? Où l’on sentirait la mort nous frôler dans les couloirs. Mais non ! Je me suis bien trompée ! Tout le monde sourit ! Bizarrement ici, il n’y a que des gens heureux ! Et des enfants partout ! Il y a Maxime, Yacine, Inès, Hichem, Mahmoud, Cathy, Maza, Fatou, Yung…Certains n’ont plus de cheveux mais personne ne se moque d’eux.

 

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Au-revoir tout le monde !

10 mai 2016

Mon histoire

 

Chers lecteurs et lectrices,

Moi, Bintou, j’ai décidé de vous écrire parce que depuis quatre mois, tout va mal. Depuis ma maladie, je suis plus qu’un œuf tout pourri ! Ça a commencé par des courbatures et des maux de têtes. J’avais même du mal à me servir de mes jambes et tout ce que je mangeais, je le vomissais. Le docteur m’a expliqué : « Bintou, il a dit, tu as des cellules négatives ».

 

 

NEGATIF

 

 

 

 J’ai pas trop compris mais depuis, c’est comme si tout ce que je touchais devenait triste.

 

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Je faisais du foot avant. L’équipe me manque mais la dernière fois que je suis passée à l’entrainement, j’ai cru qu’ils allaient tous pleurer. Alors que j’allais les voir pour rigoler ! Avant, je passais mes week-ends à jouer au foot : je voulais devenir pro. J’aurais été riche, connue, j’aurais eu tous les garçons à mes pieds. Moi, Bintou, je jure que j’allais devenir une star. Sauf que maintenant, celle qui fait sa star, c’est ma maladie… Ma maladie, vous la connaissez, elle est très célèbre, des fois elle est plus là, elle se fait plus ressentir, elle peut vite changer aussi, se faire toute petite aussi, histoire qu’on l’oublie, mais elle est toujours là… Vous voyez toujours pas ?

Vous vous demandez sûrement : pourquoi j’ai décidé d’écrire ce blog ? J’avoue, je ne sais pas si c’est tellement une bonne idée. Mais ça fait un moment que j’y pense… En fait, j’y pense tout le temps. Parce que depuis que je suis malade, personne ne me regarde plus dans les yeux. Si je vous écris, c’est pour trouver du soutien et des amis, et pourquoi pas de l’appétit ! Vous raconter mes cauchemars et mes espoirs, libérer mes émotions, mes sensations, mes sentiments. Sortir tout ce qui bouillonnent dans ma tête. Et trouver des yeux et des oreilles capables de l’entendre. Ce que je cherche, c’est du réconfort, des mots doux, des mots qui aident à avancer. Cela me rendrait heureuse… et puis je veux prouver aux gens que je peux faire quelque chose avec ma maladie !

 

Sur ce, à bientôt !

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